top of page

Critiques du

Testament de Galilée

3. L'enfant

 

Retrouvez ici toutes les chroniques et critiques concernant le tome 3 du Testament de Galilée, paru aux éditions l'ivre-book.

Commentaires sur Amazon :
Tome 3 - L'enfant

 

 

 

Critique 1
Tome 3 - L'enfant
par Malka

 

Vous pourrez retrouver cette critique directement sur son site en cliquant ici.

 

« Le roman est agréablement construit et les personnages toujours aussi attachants. La lecture fut trépidante, un peu trop courte à mon goût, car j’aurai aimer accompagner encore ces personnages que j’ai appris apprécié sur ces trois volumes.  »

 

Le troisième volume du « Testament de Galilée » intitulé « L’enfant » reste dans la continuité des deux tomes précédents. Nous retrouvons les personnages peu de temps après l’affrontement final du deuxième tome. Sébastien Tisandier prend le temps, en ce début de roman, de les laisser se remettre du choc qu’ils ont subi et d’assimiler ses conséquences.
Ce volume se centre, comme son titre l’indique, sur l’enfant d’Emma et Jules, de la grossesse classée hors norme du fait de sa croissance accélérée, à ses influences sur les possesseurs de capacités.

La narration adoptée dans ce volume garde la particularité de proposer un point de vue à la première personne pour Jules et à la troisième personne pour les autres personnages. Elle s’impose parfaitement au lecteur car la continuité dans l’écriture et une alternance régulière entre les deux aident le lecteur, sans le surprendre quand elle change. Je l’ai trouvée moins déstabilisante que dans le deuxième tome, car elle coule naturellement à la lecture. Et Jules apparaît clairement comme le personnage central, aux côtés de son enfant.
La narration reste de plus agréable, rythmée et équilibrée, avec des descriptions judicieuses et des dialogues vivants qui témoignent d’une belle complicité entre les personnages. Même le lecteur serait capable de les comprendre à demi mot.
L’auteur reste fidèle à leur caractérisation et soigne aussi bien leurs relations que l’aspect psychologique.
Le roman repose sur beaucoup d’action, ce qui explique un bon rythme et un attention toujours constante du lecteur.
Le tout est porté par un style fluide, efficace, agréable à la lecture.

Sébastien Tissandier a mis l’accent sur certains personnages
On retrouve Jules, comme toujours, autour de qui gravite son petit groupe d’amis. Jules, qui se sent bien impuissant et frustré, toujours soucieux de protéger sa famille et ses amis.
Kurtis sera là, bien sûr, pour le soutenir. Leur belle complicité continue, pour notre grand plaisir.
Au-delà de Jules, son enfant prend une place de plus en plus importante au sein du groupe. C’est un personnage à part entière, même quand il se trouve dans le ventre de sa mère. Il impose sa présence et ses ondes positives et réconfortantes aux membres du groupe, mais aussi et surtout apporte son aide dans les moments décisifs. Le lecteur apprend à l’apprécier, avant même sa naissance.
De plus, la relation entre Jules et son enfant se met en place peu à peu et gagne en intensité au fil du roman.
Anna et Hector continuent leur chasse aux capacités. Anna engrange des pouvoirs de plus en plus dangereux et forme même une armée. L’enfant l’intéresse particulièrement et elle tente de s’en emparer par tous les moyens. Pourtant, d’autres adversaires, plus puissants encore, se profilent à l’horizon. Ce qui ne présage rien de bon.
Parmi les personnages très présents dans ce troisième tome, on peut également citer Jaden Duke, qui occupe une place particulière dans le récit. Membre des Ghosts et protégé du capitaine Andersen, il passe par des moments forts (de joie et de tristesse) et réserve des surprises au lecteur.

En conclusion, le roman est agréablement construit et les personnages toujours aussi attachants. La lecture fut trépidante, un peu trop courte à mon goût, car j’aurai aimer accompagner encore ces personnages que j’ai appris apprécié sur ces trois volumes. Mais le dernier volume du « Testament de Galilée » ne marque pas la fin du cycle puisqu’une nouvelle série nommée « Les héritiers de Galilée » permettra de continuer l’aventure. Évidemment, je la lirai avec plaisir. Je remercie le forum « Au cœur de l’imaginarium » et les éditions « L’ivre-book » pour cette excellente lecture.

Ma note : 9/10

 

Critique 2
Tome 3 - L'enfant
par Croquemais

 

Vous pourrez retrouver cette critique directement sur son site en cliquant ici.

 

"Voilà je retiens un excellent souvenir de ces trois tomes : comme je l'ai déjà signalé ma préférence va aux deux premiers tomes, mais les trois tomes se valent, et on prend un réel plaisir à dévorer l'histoire.
J'invite tous les lecteurs qui ne l'auraient pas fait à découvrir cet auteur."

 

"Avec quelques mois de décalage je prends enfin le temps de rédiger une critique.
Tout d'abord, même si j'ai beaucoup aimé ce troisième et dernier tome [mais pas si dernier en fait ;-) ] je dois préciser que ma préférence va aux premier et au second tomes.
Le style est toujours aussi agréable à lire, et dans ce tome l'action (toujours présente) réduit en intensité. L'auteur laisse un peu ses personnages réfléchir et se livrer "intérieurement". Pas mal d'émotions en le lisant (les jeunes parents comprendront)
Il explore également un nouveau domaine (style coquin interdit aux moins de 16 ans ;-) ), et semble maîtriser le sujet sans tomber dans l'excès.
Sur l'intrigue en elle-même elle est toujours aussi prenante : j'ai craint à un moment donné qu'elle ne parte dans de nouvelles directions. Vu le nombre page standard j'avais peur que l‘histoire se conclue trop rapidement sur ces sujets. Ce n'est absolument pas le cas. L'auteur pose les bases d'une nouvelle « série ». J'espère que dans celle- ci l'auteur laissera se reposer nos personnes fétiches pour privilégier des nouvelles personnalités.
Sur ce roman deux petites choses me dérangent (mais rien de grave) : j'ai toujours du mal (mais c'est le propre de ce genre, que ce soit en littérature ou au cinéma) avec le fait de voir 2/3 personnes maîtriser une « armée » , et j'ai eu plus de mal avec le passage du personnage « infiltré sous hypnose ».
Voilà je retiens un excellent souvenir de ces trois tomes : comme je l'ai déjà signalé ma préférence va aux deux premiers tomes, mais les trois tomes se valent, et on prend un réel plaisir à dévorer l'histoire.
J'invite tous les lecteurs qui ne l'auraient pas fait à découvrir cet auteur. Ses autres productions sont très intéressantes et j'ai hâte de découvrir la suite ainsi que ses autres créations. On effleure parfois le cliché mais l'auteur maîtrise parfaitement son sujet.
Merci à lui.."

 

Critique 3
Tome 3 - L'enfant
par Danielle  Gourbeault-Pétrus

 

"Les ingrédients sont ceux de la SF, mais Sebastien Tissandier s'attache à rendre les choses crédibles et compréhensibles. "

 

 

"Terminé les trois tomes du Testament de Galilée de Sebastien Tissandier chez L'Ivre-Book. Un récit de science fiction mené comme un thriller inquiétant. Jules Galio assistant du professeur Lombard travaille sur la mutation de certains gènes. Contactés par la NASA, les deux scientifiques se rendent aux États-Unis pour enquêter sur une liste de 32 individus doués de facultés extraordinaires. Assez vite, ils se rendent compte qu'ils ne sont pas seuls à les rechercher. Si eux ont des intentions scientifiques, un groupe particulièrement organisé et informé : les Originels les font disparaître violemment les uns après les autres. Une course contre la montre s'engage donc pour les sauver et comprendre le lien entre Galilée et ces mutants. Les ingrédients sont ceux de la SF, mais Sebastien Tissandier s'attache à rendre les choses crédibles et compréhensibles. On retrouve aussi, ce qui ne me déplait pas, quelques caractères de la fantasy avec un parchemin, un sarcophage et les pouvoirs merveilleux que développent les différents protagonistes. On court de rebondissements en rebondissements, les personnages sont attachants, leur psychologie fouillée s'affine entre le premier et le troisième tome, que ce soit celle des héros et celle de leurs ennemis. Je vous encourage donc à lire ces romans. Les trois à la suite parce qu'on ne peut s'en détacher avant le dernier mot. "

bottom of page